Hier, ils veillaient sur moi. Aujourd’hui, c’est à mon tour de les accompagner. Comment soutenir mes parents sans m’oublier en chemin ? Chutes, isolement, démarches, transmission… Zoom sur quelques questions liées au grand âge.
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Je vis à dix minutes de chez mon père, Claude, qui a 82 ans. Depuis quelque temps, il oublie certains rendez-vous, hésite en montant les escaliers… Il peut rester chez lui, mais cela nécessite quelques aménagements. Barres d’appui, douche de plain-pied, détecteurs de chute, téléassistance : des équipements simples peuvent faire toute la différence.
Mais il arrive souvent un moment où la question d’un autre lieu de vie se pose. J’ai envisagé de l’accueillir quelque temps chez moi. D’autres optent pour la cohabitation intergénérationnelle, avec un étudiant, par exemple. Un bon moyen de vivre plus longtemps chez soi et de rompre l’isolement !
Quand la perte d’autonomie devient trop importante, un emménagement en résidence autonomie ou en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) peut s’imposer. Pour éviter les décisions précipitées, mieux vaut en parler tôt, à tête reposée. C’est ce que nous avons fait, mon père et moi : sans tabou, nous avons abordé le sujet bien en amont et commencé à visiter quelques établissements, pour prendre le temps d’y réfléchir ensemble.
Un bouton, un geste, une voix rassurante. Avec la solution de téléassistance Sérélia Sérénité(1), vos parents âgés peuvent vivre chez eux en toute sécurité, reliés à une plateforme d’écoute 24/7. En cas de chute, de malaise ou d’un simple besoin d’échanger, un professionnel formé répond immédiatement et peut vous prévenir, ainsi que les secours, si nécessaire.
Un petit boîtier pour une grande tranquillité d’esprit, pour eux comme pour vous.