Empilable
- Modèle en aluminium
- Pour grandes et très grandes ouvertures
- Nécessite la pose préalable de glissières et d’un seuil si celui-ci n’est pas de niveau
- Simple à assembler : des palplanches de 20 centimètres de haut s’empilent les unes sur les autres
- Plus long à installer que les autres modèles
- Facile à transporter et à stocker
Gonflable
- Modèle fabriqué à partir d’un Drop-Stitch : une technologie brevetée composée de deux membranes de PVC reliées entre elles par des milliers de fils en Nylon
- Pour petites et grandes ouvertures
- Sans pose ni montage préalables
- Facile à utiliser : le FlowStop se gonfle à l’aide d’une pompe manuelle ou électrique
Crédits photo, illustrations : © Sedipec ; © Freepik.
Nos sociétaires témoignent
« La solution anti-inondation qui répond à mon juste besoin »
Emmanuelle a installé, de manière préventive, un batardeau dans sa maison en Normandie.
« Ma maison se situe dans une zone inondable. Je venais d’emménager quand j’ai reçu un courrier de la Matmut qui me proposait de réaliser un diagnostic inondation. Ça tombait à pic ! Lorsque j’étais étudiante, un stage dans un organisme de gestion des crues m’avait fait prendre conscience des ravages que l’eau peut provoquer. Je savais qu’il fallait faire quelque chose, mais je ne savais pas quoi. J’ai donc pris rendez-vous avec l’expert préventionniste de la Matmut. Il a constaté que mon sous-sol était susceptible d’être inondé par débordement d’un ruisseau canalisé dans le jardin. Il m’a recommandé d’installer en priorité un batardeau en aluminium devant la porte-fenêtre d’accès au sous-sol, premier point d’entrée d’eau potentiel. J’ai suivi son conseil sur le modèle : un panneau monobloc léger que je n’aurai plus qu’à glisser dans les rails fixés sur les côtés de la porte. Le reste du temps, je l’entrepose à la cave. Je trouve ce système assez simple et finalement peu onéreux. Avoir l’œil d’un expert, c’est rassurant. J’ai confiance, car je sais que la solution préconisée correspond à mon juste besoin ! »
« Plus jamais ça ! »
Après avoir été inondée, Andrée s’est équipée de six batardeaux dans sa maison du Nord.
« Nous avons subi avec mon mari deux inondations, en novembre 2023 puis en janvier 2024. La première fois, mon gendre s’était rendu compte que l’eau des cours d’eau alentour montait. Nous sommes allés acheter des sacs de sable. Très vite, nous nous sommes aperçus que ça ne suffisait pas. Nous avons mis tous les meubles sur des parpaings, ça n’a pas suffi non plus. Tout a été trempé les deux fois, il y avait plus de 40 centimètres d’eau dans la maison ! C’est très éprouvant, nous espérons que ça ne se reproduira plus. Au cas où, nous avons décidé d’installer six batardeaux pour minimiser les dégâts. C’est une solution que l’expert de la Matmut nous a préconisée au moment du sinistre : elle était prise en charge à 100 % dans le cadre du dispositif de l’État, Mieux reconstruire après inondation (MIRAPI). Nous avons opté pour des modèles en aluminium que nous aurons juste à glisser dans les rails fixés sur la maçonnerie en cas de crue. Au besoin, nous savons que nous pourrons compter sur notre voisinage. Quand je vois la solidarité qui s’est mise en place au moment des inondations, je suis certaine que nous ne serons pas seuls ! »